Une sélection ciné idéale pour se rappeler..
Le premier mercredi de 2015 sera historique forcément, mais pas pour les sorties cinéma, évidemment, et je dois reconnaitre qu'on a eu moins envie de parler cinéma et films à voir la semaine ée, car cela nous semblait un peu dérisoire comparé à l'actualité. Espérons que cette seconde semaine de 2015 soit plus légère et qu'on puisse se pencehr sur les sorties cinéma, avec notamment trois films qui ont un point commun la mémoire et le souvenir,soit individuelle, soit collective :
1. Les souvenirs
Le pitch :
Romain a 23 ans. Il aimerait être écrivain mais, pour l'instant, il est veilleur de nuit dans un hôtel.
Son père a 62 ans. Il part à la retraite et fait semblant de s'en foutre. Son colocataire a 24 ans. Il ne pense qu'à une chose : séduire une fille, n'importe laquelle et par tous les moyens. Sa grand-mère a 85 ans. Elle se retrouve en maison de retraite et se demande ce qu'elle fait avec tous ces vieux.
Un jour son père débarque en catastrophe. Sa grand-mère a disparu. Elle s'est évadée en quelque sorte. Romain part à sa recherche, quelque part dans ses souvenirs…
Pourquoi je veux y aller :
- parce que Jean-Paul Rouve, acteur pas forcément follichon avait réalisé un long métrage en 2013, Quand je serais parti particulièrement bouleversant et que ce nouveau film pourrait bien permettre de lui retrouver toute sa sensibilité
- parce que le roman à l'origine du film est l'oeuvre de David Foenkinos, "Les souvenirs" , un livre dont j'avais dit le plus grand bien lors de sa sortie en grand format en 2011.
player" width="480" height="270">
2. The cut
Le pitch :
Anatolie, 1915. Dans le tumulte de la Première Guerre mondiale, alors que l’armée turque s’attaque aux Arméniens, le jeune forgeron Nazaret Manoogian est séparé de sa femme et ses deux filles. Des années plus tard, rescapé du génocide, Nazaret apprend que ses filles sont toujours en vie. Porté par l’espoir de les retrouver, il se lance dans une quête éperdue, ponctuée de rencontres avec des anges et des démons, du désert de la Mésopotamie aux prairies sauvages du Dakota...
Pourquoi je veux y aller : - pour voir Tahar Rahim, après deux parenthèses comiques (Samba et le Père Noël) revenir à un cinéma plus dramatique sous la houlette
3. Loin des hommes
Le pitch :
1954. Alors que la rébellion gronde dans la vallée, deux hommes, que tout oppose, sont contraints de fuir à travers les crêtes de l’Atlas algérien. Au cœur d’un hiver glacial, Daru, instituteur reclus, doit escorter Mohamed, un villageois accusé de meurtre. Poursuivis par des cavaliers réclamant la loi du sang et par des colons revanchards, les deux hommes se révoltent. Ensemble, ils vont lutter pour retrouver leur liberté.
Pourquoi je veux y aller :
- parce que Sept ans après son très beau premier film Nos retrouvailles, David Oelhoffen de retour avec un film sélectionné à Venise, et, librement inspiré de L'hôte d'Albert Camus,
- parce que le film nous plonge dans les plaies toujours aussi béantes de la guerre d'Algérie, et que ce film nous offre un age important de la guerre à travers deux personnages qui vont tomber involontairement dans le conflit.
- pour le tandem Reda Kateb et Viggo Mortensen, duo étonnant sur le papier, mais très prometteur, vu leurs talents avérés.
LOIN DES HOMMES (Reda Kateb - Viggo Mortensen )
Si on y ajoute les Nouveaux Sauvages dont j'ai parlé hier, et Bébé Tigre que j'avais présenté dimanche dans mon billet concours, voilà 5 films sortis cette semaine qui font bien envie, n'est ce pas?
